Le 16 octobre 2001, jour funeste
La disparition de Ghislain le 16 octobre 2001, fut le jour le plus sombre de notre vie avec cette absence omniprésente. Cette douloureuse épreuve est toujours là. Et sa disparition laisse un grand vide… Nous repensons souvent aux moments de bonheur et de générosité, c’était un fils formidable qui savait apporter la joie autour de lui.
Quelle injustice de partir à 25 ans ! Quel combat de ne plus le voir sourire, de ne plus recevoir de gros bisous, de ne plus entendre le son de sa voix et le bruit de ses pas ! Que c’est dur de ne pas regarder son enfant grandir. On a pris ta vie et brisé la nôtre.
Plus rien n’est comme avant ! On se retrouve seul dans notre intimité, Ghislain tu nous manques tant ! On ne peut oublier cette douleur sans nom, mais seulement essayer de vivre pour lui.
L’AFVAC nous aide et nous apporte du réconfort à notre cœur, nous sommes très entourés dans les lycées, pour nous, c’est important de parler de notre message, « être à l’écoute de l’autre », on peut sauver la vie de quelques imprudents de la route.
La route peut nous mener vers les plus beaux chemins, les plus beaux villages et les plus beaux pays, mais elle peut parfois nous conduire aussi sur le chemin de la mort.